Post by alwena on Dec 4, 2020 14:09:07 GMT 1
coucou
comme beaucoup pour avoir autre chose que mon ressenti personnel comme référence j'ai faite une recherche et j'ai trouvé un article Wikipédia
souvent il sont bien construits et impartiaux.... souvent seulement
fr.wikipedia.org/wiki/Dysphorie_de_genre_chez_les_enfants
WIKI : « La controverse entourant la pathologisation et le traitement de l'identité et des comportements de l'autre genre, en particulier chez les enfants, a été importante dans la littérature depuis les années 1980. Les partisans du diagnostic chez les enfants font valoir que l'intervention thérapeutique aide les enfants à être plus à l'aise dans leur corps et peut prévenir les troubles de l'identité de genre à l'âge adulte. Les opposants disent que les interventions thérapeutiques équivalent à celles qu'on donnait aux gais et lesbiennes homosexuels* (intitulées « conversion » ou « thérapie réparatrice ») »
* (j'ai rectifié en terme générique et en accord certes machiste de l’orthographe)
Moi : deux choses sont à séparer dans la compréhension globale : le sexe dans son appartenance et l'identification que nous en avons et l'attirance sexuelle qui est indépendante de çà.
Pour exemple je dis à mes amis qu'en sortant du bloc opératoire je ne suis pas devenue blonde au yeux bleus aux mensurations 90/60/90 toutes ces choses n'ont pas changés et mon attirance sexuelle non plus.
La dysphorie de genre chez l'enfant décrit un état psychologique dans lequel les enfants vivent une incongruité entre leur identité genrée et le sexe biologique qui leur est attribué à la naissance.
Lorsque cela se produit chez l'enfant prépubère, le trouble disparaît dans la grande majorité des cas à la fin de l'adolescence : 80 à 95 pour cent des enfants prépubères atteints de troubles de l'identité sexuelle connaîtront une résolution à la fin de l'adolescence s'ils ne sont pas exposés à une affirmation sociale et à des interventions médicales. Les taux de prévalence de la dysphorie de genre chez les enfants ont été estimés à moins de 1%
Cette assertion est une manière de botter en touche, et nous toutes transexuelles adultes pouvons dans notre grande majorité affirmer que le trouble continue ses ravages en tache de fond et se contenter d'un ' mieux ' ne « peut prévenir les troubles de l'identité de genre à l'âge adulte »
Personnellement j'y trouve une sorte de cruauté dans le fait que l'enfant se voit proposer un éclairage sur son trouble et sait instinctivement que c'est LA réponse puis parce que le reste de sa personnalité continue d’évoluer comme tous les enfants de son âge (et c'est valable toute la vie pour tout le monde) au prétexte que l'enfant ' va mieux ' rasséréné par le début de solution et qu'il vit en premier plan autre chose il est lâché en pleine mer sans radeau de survie.
Comme si qu’arrêter de quantifier un cas suffisait à le régler.
En 2016, les recherches n'ont toutefois pas permis de déterminer des facteurs familiaux, sociaux, des événements particuliers ou des combinaisons de ces facteurs qui pourraient déclencher chez un enfant ces troubles de l'identité.
Les études suggèrent que le renforcement social, des psychopathologies parentales, la dynamique familiale et l'influence des médias grand public et des réseaux sociaux, peuvent contribuer au développement et/ou à la persistance de la maladie chez certains enfants vulnérables.
Cette vue de l'esprit est très partisane du syndrome subit alors qu'il est inné. Rien ne le déclenche nous en prenons conscience à un moment ou l'autre de notre vie l'age n'intervenant en aucune manière.
En 1953 dans mon village de 80 habitants il n'y avait aucun des critères cités pour laisser penser que les enfants seraient sous influence et comme maman me l'a dit : « à cette époque là on ne savait pas »
Comme il serait tout aussi idiot de laisser penser que les filles le sont à cause de l'environnement social à moins de piper les dès et étayer une démonstration.
Note personnelle : je consulte souvent Wikipédia pour beaucoup de choses je viens de découvrir la limite de l'impartialité car tous les psychiatres et psychologues intellectuellement honnêtes vous diront: la médecine ne sait pas et elle ne fait que qu'accompagner
Ma psychiatre avait ajouté : « … nous abondons dans le sens du patient pour lui permettre de trouver son équilibre... »
C'est bien là seule voie possible et intellectuellement honnête les très bons intervenant que nous rencontrons savent çà et savent ne pas nous imposer leur critères mais nous accompagner comme laisser essayer un vêtement au lieu de l'acheter de façon autoritaire.
DSM-5 (2013) : diagnostic de dysphorie de genre
En mai 2013, l'Association américaine de psychiatrie a publié la cinquième version du DSM (DSM-5) dans laquelle le diagnostic chez les enfants a été supprimé et remplacé par la dysphorie de genre pour la première fois. Elle stipule que la dysphorie de genre met l'accent sur la détresse liée au corps, plutôt que liée à la conformité d'avec la société ou les normes de genre.
Le DSM est la 'bible' de base.
Les psychiatres mettent en œuvre des diagnostiques notamment sur les comorbidités ( autre 'maladies' mentales)avec test de personnalité et questionnaires spécifiques , puis un avis très pointu sur le questionnement de base cet personne est transexuelle ou pas. Cela est l'étape initiale et obligatoire qui ouvre le reste de la prise en charge médicale.
Le débat sur la façon de traiter les enfants atteints de dysphorie de genre est avant tout un débat éthique. Les interventions thérapeutiques ont longtemps essayé d'aider les enfants à aligner leur identité sexuelle sur leur sexe anatomique. Depuis environ le début des années 2000, la nouvelle norme de traitement des enfants prépubères dysphoriques a changé. Ce nouveau paradigme se base sur l'hypothèse que la dysphorie de genre est innée et traite les enfants par la suppression pubertaire…
Communément appelé blocage de la perturbé
Là aussi l'intervenant de 2éme niveau qu'est l'endocrinologue est déterminante car il s'agit, et c'est vraiment du cas par cas, d'éviter les effets de la puberté, production de spermatozoïdes, pilosité…, dont il est si difficile de se débarrasser post pubère.
WIKI : « La controverse entourant la pathologisation et le traitement de l'identité et des comportements de l'autre genre, en particulier chez les enfants, a été importante dans la littérature depuis les années 1980. Les partisans du diagnostic chez les enfants font valoir que l'intervention thérapeutique aide les enfants à être plus à l'aise dans leur corps et peut prévenir les troubles de l'identité de genre à l'âge adulte. Les opposants disent que les interventions thérapeutiques équivalent à celles qu'on donnait aux gais et lesbiennes homosexuels* (intitulées « conversion » ou « thérapie réparatrice ») »
* (j'ai rectifié en terme générique et en accord certes machiste de l’orthographe)
Moi : deux choses sont à séparer dans la compréhension globale : le sexe dans son appartenance et l'identification que nous en avons et l'attirance sexuelle qui est indépendante de çà.
Pour exemple je dis à mes amis qu'en sortant du bloc opératoire je ne suis pas devenue blonde au yeux bleus aux mensurations 90/60/90 toutes ces choses n'ont pas changés et mon attirance sexuelle non plus.
La dysphorie de genre chez l'enfant décrit un état psychologique dans lequel les enfants vivent une incongruité entre leur identité genrée et le sexe biologique qui leur est attribué à la naissance.
Lorsque cela se produit chez l'enfant prépubère, le trouble disparaît dans la grande majorité des cas à la fin de l'adolescence : 80 à 95 pour cent des enfants prépubères atteints de troubles de l'identité sexuelle connaîtront une résolution à la fin de l'adolescence s'ils ne sont pas exposés à une affirmation sociale et à des interventions médicales. Les taux de prévalence de la dysphorie de genre chez les enfants ont été estimés à moins de 1%
Cette assertion est une manière de botter en touche, et nous toutes transexuelles adultes pouvons dans notre grande majorité affirmer que le trouble continue ses ravages en tache de fond et se contenter d'un ' mieux ' ne « peut prévenir les troubles de l'identité de genre à l'âge adulte »
Personnellement j'y trouve une sorte de cruauté dans le fait que l'enfant se voit proposer un éclairage sur son trouble et sait instinctivement que c'est LA réponse puis parce que le reste de sa personnalité continue d’évoluer comme tous les enfants de son âge (et c'est valable toute la vie pour tout le monde) au prétexte que l'enfant ' va mieux ' rasséréné par le début de solution et qu'il vit en premier plan autre chose il est lâché en pleine mer sans radeau de survie.
Comme si qu’arrêter de quantifier un cas suffisait à le régler.
En 2016, les recherches n'ont toutefois pas permis de déterminer des facteurs familiaux, sociaux, des événements particuliers ou des combinaisons de ces facteurs qui pourraient déclencher chez un enfant ces troubles de l'identité.
Les études suggèrent que le renforcement social, des psychopathologies parentales, la dynamique familiale et l'influence des médias grand public et des réseaux sociaux, peuvent contribuer au développement et/ou à la persistance de la maladie chez certains enfants vulnérables.
Cette vue de l'esprit est très partisane du syndrome subit alors qu'il est inné. Rien ne le déclenche nous en prenons conscience à un moment ou l'autre de notre vie l'age n'intervenant en aucune manière.
En 1953 dans mon village de 80 habitants il n'y avait aucun des critères cités pour laisser penser que les enfants seraient sous influence et comme maman me l'a dit : « à cette époque là on ne savait pas »
Comme il serait tout aussi idiot de laisser penser que les filles le sont à cause de l'environnement social à moins de piper les dès et étayer une démonstration.
Note personnelle : je consulte souvent Wikipédia pour beaucoup de choses je viens de découvrir la limite de l'impartialité car tous les psychiatres et psychologues intellectuellement honnêtes vous diront: la médecine ne sait pas et elle ne fait que qu'accompagner
Ma psychiatre avait ajouté : « … nous abondons dans le sens du patient pour lui permettre de trouver son équilibre... »
C'est bien là seule voie possible et intellectuellement honnête les très bons intervenant que nous rencontrons savent çà et savent ne pas nous imposer leur critères mais nous accompagner comme laisser essayer un vêtement au lieu de l'acheter de façon autoritaire.
DSM-5 (2013) : diagnostic de dysphorie de genre
En mai 2013, l'Association américaine de psychiatrie a publié la cinquième version du DSM (DSM-5) dans laquelle le diagnostic chez les enfants a été supprimé et remplacé par la dysphorie de genre pour la première fois. Elle stipule que la dysphorie de genre met l'accent sur la détresse liée au corps, plutôt que liée à la conformité d'avec la société ou les normes de genre.
Le DSM est la 'bible' de base.
Les psychiatres mettent en œuvre des diagnostiques notamment sur les comorbidités ( autre 'maladies' mentales)avec test de personnalité et questionnaires spécifiques , puis un avis très pointu sur le questionnement de base cet personne est transexuelle ou pas. Cela est l'étape initiale et obligatoire qui ouvre le reste de la prise en charge médicale.
Le débat sur la façon de traiter les enfants atteints de dysphorie de genre est avant tout un débat éthique. Les interventions thérapeutiques ont longtemps essayé d'aider les enfants à aligner leur identité sexuelle sur leur sexe anatomique. Depuis environ le début des années 2000, la nouvelle norme de traitement des enfants prépubères dysphoriques a changé. Ce nouveau paradigme se base sur l'hypothèse que la dysphorie de genre est innée et traite les enfants par la suppression pubertaire…
Communément appelé blocage de la perturbé
Là aussi l'intervenant de 2éme niveau qu'est l'endocrinologue est déterminante car il s'agit, et c'est vraiment du cas par cas, d'éviter les effets de la puberté, production de spermatozoïdes, pilosité…, dont il est si difficile de se débarrasser post pubère.
avant de passer à la suite je veux relever le fait que ce soit un "débat" ce qui me heurte car étant diabétique je ne pense pas qu'il y ai débat sur la manière de me traiter ni même encore moi s'il faut me traiter
Sous prétexte qu'il s'agit du sexe il faudrait l’assentiment de tous, faire signer des listes de pour et de contre comme un référendum ?
NON ! il s'agit de notre vie un point c'est tout et ceux à qui çà fait mal à l’âme nous ne sommes pas là pour leur guérir au travers de leur mépris, ni même avoir une quelconque bénédiction
Alignement de l'identité sexuelle sur le sexe anatomique
L'introduction du diagnostic de « trouble de l’identité de genre dans l’enfance » dans le DSM-III en 1980 a été précédée par de nombreuses études américaines dès les années 1950 et 1960 ; la plus importante étant celle de John Money et Richard Green à l'hôpital Johns-Hopkins et l'université de Californie à Los Angeles (UCLA). La prévention de la transidentité et/ou de l'homosexualité était explicitement déclarée comme le but de beaucoup de ces études.
Je relève cette phrase pour dire haut et fort : le trouble de l'identité et l'homosexualité sont deux choses différentes et les associer est déjà de l'anathème.
La transidentité est le trouble de l'identité comme sont appellation l’indique est identitaire et lié au plus intime qu'est la relation corps/cerveau et c'est la qu'il se situe.
L'homosexualité est un comportement sexuel lié à l'attirance que l'on à, en l’occurrence du même sexe.
L'amalgame sexe anatomique et sexe 'sexuel' est trop souvent fait, il s'agit bien de la même chose mais de deux fonctions différentes , comme la même main peut gifler ou caresser.
Personnellement je m'amuse à dire que l'on m'a contrainte à être homosexuelle car mon attirance avant transition étant vers les femmes et ayant changée mon prénom et mon identité devenue femme j'ai basculé homosexuelle car je n'ai pas changé d'attirance.
Dans le cas de l'identité de genre non-conforme des enfants et des adolescents, les critères du GID sont significativement plus importants dans le DSM-IV (APA, 1994, 537) que lors des précédentes révisions.
Un enfant peut être diagnostiqué avec un trouble de l'identité de genre, sans jamais avoir déclaré avoir le souhait d'être de l'autre sexe. Les garçons sont inexplicablement tenus à un standard de conformité beaucoup plus strict que les filles. La plupart des psychologues qui se spécialisent dans le trouble de l'identité genre chez les enfants ont un nombre plus important de patients de sexe assigné masculin. Une explication possible serait que le comportement adopté de l'autre sexe est moins acceptable et, par conséquent, plus perceptible et plus susceptible d'être perçu comme problématique par les parents de l'enfant (Bradley, Zucker, 1997). La préférence pour le transvestissement ou le port de vêtements pour femmes fait partie des critères de diagnostic pour les garçons assignés, mais pas pour les filles, qui doivent porter des vêtements masculins sur une période de temps relativement longue et avec insistance pour entrer dans les critères diagnostiques.
les qualifiés garçons le sont sur le critère anatomique et médical qui considère la personne transexuelle dans sont genre d'origine et légal. Pour beaucoup d'entre nous c'est déjà une négation aussi il est mieux d’être précis et dire MtF ( de l'anglais Male to Female ou FtM pour l'autre cas).
Concernant le « standard de conformité » cité il tient à mon sens du fait que le mâle est par définition sociale dominant donc infaillible, non déviant… etc ; alors que les sujets FtM sont plus socialement autorisés à la fantaisie
Pour les deux cas il faut aussi prendre en compte le travail hormonal ( qui est présent de toute façon ) et ce qu'il induit sur le fonctionnement du cerveau, qui lui-même commande le corps.
Avoir une charge de testostérone ou d’œstrogène amène des comportements différents, le travestisme n'est qu'une manière visible et souvent désespérée pendant l'enfance de se faire vivre dans son vrai sexe.
L'introduction du diagnostic de « trouble de l’identité de genre dans l’enfance » dans le DSM-III en 1980 a été précédée par de nombreuses études américaines dès les années 1950 et 1960 ; la plus importante étant celle de John Money et Richard Green à l'hôpital Johns-Hopkins et l'université de Californie à Los Angeles (UCLA). La prévention de la transidentité et/ou de l'homosexualité était explicitement déclarée comme le but de beaucoup de ces études.
Je relève cette phrase pour dire haut et fort : le trouble de l'identité et l'homosexualité sont deux choses différentes et les associer est déjà de l'anathème.
La transidentité est le trouble de l'identité comme sont appellation l’indique est identitaire et lié au plus intime qu'est la relation corps/cerveau et c'est la qu'il se situe.
L'homosexualité est un comportement sexuel lié à l'attirance que l'on à, en l’occurrence du même sexe.
L'amalgame sexe anatomique et sexe 'sexuel' est trop souvent fait, il s'agit bien de la même chose mais de deux fonctions différentes , comme la même main peut gifler ou caresser.
Personnellement je m'amuse à dire que l'on m'a contrainte à être homosexuelle car mon attirance avant transition étant vers les femmes et ayant changée mon prénom et mon identité devenue femme j'ai basculé homosexuelle car je n'ai pas changé d'attirance.
Dans le cas de l'identité de genre non-conforme des enfants et des adolescents, les critères du GID sont significativement plus importants dans le DSM-IV (APA, 1994, 537) que lors des précédentes révisions.
Un enfant peut être diagnostiqué avec un trouble de l'identité de genre, sans jamais avoir déclaré avoir le souhait d'être de l'autre sexe. Les garçons sont inexplicablement tenus à un standard de conformité beaucoup plus strict que les filles. La plupart des psychologues qui se spécialisent dans le trouble de l'identité genre chez les enfants ont un nombre plus important de patients de sexe assigné masculin. Une explication possible serait que le comportement adopté de l'autre sexe est moins acceptable et, par conséquent, plus perceptible et plus susceptible d'être perçu comme problématique par les parents de l'enfant (Bradley, Zucker, 1997). La préférence pour le transvestissement ou le port de vêtements pour femmes fait partie des critères de diagnostic pour les garçons assignés, mais pas pour les filles, qui doivent porter des vêtements masculins sur une période de temps relativement longue et avec insistance pour entrer dans les critères diagnostiques.
les qualifiés garçons le sont sur le critère anatomique et médical qui considère la personne transexuelle dans sont genre d'origine et légal. Pour beaucoup d'entre nous c'est déjà une négation aussi il est mieux d’être précis et dire MtF ( de l'anglais Male to Female ou FtM pour l'autre cas).
Concernant le « standard de conformité » cité il tient à mon sens du fait que le mâle est par définition sociale dominant donc infaillible, non déviant… etc ; alors que les sujets FtM sont plus socialement autorisés à la fantaisie
Pour les deux cas il faut aussi prendre en compte le travail hormonal ( qui est présent de toute façon ) et ce qu'il induit sur le fonctionnement du cerveau, qui lui-même commande le corps.
Avoir une charge de testostérone ou d’œstrogène amène des comportements différents, le travestisme n'est qu'une manière visible et souvent désespérée pendant l'enfance de se faire vivre dans son vrai sexe.
C'est même basiquement c'est de çà qu'il est question car nitre corps c'est formé sous une influence hormonale et le cerveau lui avec une autre
Alignement du sexe anatomique sur l'identité sexuelle
Ce traitement vise à un changement de sexe biologique. Depuis environ le début des années 2000, la nouvelle norme de traitement des enfants prépubères dysphoriques a changé. Ce nouveau paradigme se base sur l'hypothèse que la dysphorie de genre est innée et traite les enfants par la suppression pubertaire avec des agonistes de l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH) suivie de l'utilisation d'hormones sexuelles croisées, une combinaison qui entraîne la stérilité des mineurs. L'administration de ces hormones visent à rendre les chirurgies ultérieures de changement de sexe moins onéreuses mais freinent la croissance des enfants et risquent de provoquer leur stérilité. Le nombre d'enfants ayant recours à ces traitements, et notamment des interventions chirurgicales, a augmenté rapidement en Grande Bretagne entre les années 2010 et 2018 passant de 40 à 1000 enfants concernés.
L'affirmation selon laquelle les traitements bloquant la puberté sont entièrement réversibles n'est pas étayée par des preuves scientifiques.
Ce traitement vise à un changement de sexe biologique. Depuis environ le début des années 2000, la nouvelle norme de traitement des enfants prépubères dysphoriques a changé. Ce nouveau paradigme se base sur l'hypothèse que la dysphorie de genre est innée et traite les enfants par la suppression pubertaire avec des agonistes de l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH) suivie de l'utilisation d'hormones sexuelles croisées, une combinaison qui entraîne la stérilité des mineurs. L'administration de ces hormones visent à rendre les chirurgies ultérieures de changement de sexe moins onéreuses mais freinent la croissance des enfants et risquent de provoquer leur stérilité. Le nombre d'enfants ayant recours à ces traitements, et notamment des interventions chirurgicales, a augmenté rapidement en Grande Bretagne entre les années 2010 et 2018 passant de 40 à 1000 enfants concernés.
L'affirmation selon laquelle les traitements bloquant la puberté sont entièrement réversibles n'est pas étayée par des preuves scientifiques.
Le traitement hormonal souvent qualifié en THS (traitement hormonal de substitution) à pour but d'amener dans un taux hormonal permettant une vie en adéquation hormones / sexe psychique ( celui vécu ) et chose que je n'avais jamais entrevue : en fonction de l'age
La résolution définitive du conflit qu'apporte un corps défaillant est chirurgical pour beaucoup.
Là plus que pour la psychiatrie et l’endocrinologie il faut veiller à s'assurer l'intervention des meilleurs en la matière, car malheureusement la spécialité devenant 'rentable' beaucoup de charlatans font apparition.
Pour apporter au regard sur la réversibilité du THS bloquant je peux juste dire que ma (réputée) endocrinologue m'a fait un courrier pour mon dossier de changement de sexe devant le tribunal et qui à été déterminant : « … le traitement est entré dans une phase irréversible... » (à moduler par le fait qu'elle à pousser le trait car dans l'ancienne loi l'irréversibilité était le point de décision des juges)
Le traitement bloquant empêche la production de spermatozoïdes donc bien que n'étant pas opéré il sera impossible même en figeant cette étape dans le temps de procréer, la sauvegarde de spermatozoïdes est à mon sens une obligation morale des parents vis-à-vis de leurs enfant car son avis même motivé ne repose pas sur tous les éléments ( continuation de tous les autres aspects de la vie ) et la transmission des gènes n'est pas encore présente déjà qu'adulte nous n'en sommes pas forcément conscients.
Pour beaucoup de choses les parents doivent tenir compte des intérêts de l'enfant sans hypothéquer son avenir.
Promoteurs
Pour les promoteurs des traitements de réassignation sexuelle, ce n'est pas aux médecins de décider ce qui va être nocif ou non. C'est à l'enfant de décider en fonction de ses propres pensées et sentiments subjectifs. Pour l'American College of Pediatricians, les enfants et les adolescents n'ont pas la maturité cognitive nécessaire.
Opposants
Une communauté croissante d'opposants incluant des médecins, des professionnels de la santé mentale et des universitaires affirment être préoccupés par la tendance actuelle qui consiste à diagnostiquer et à affirmer rapidement que des jeunes soient transgenres ce qui les met souvent sur la voie d'une transition de sexe médicale. Ces critiques estiment que des actes de chirurgies inutiles et les traitements hormonaux n'ont pas prouvé leur innocuité à long terme et représentent des risques importants pour les jeunes concernés. Il n'est pas possible à l'heure actuelle selon eux d'évaluer les risques et les avantages de ces traitements de réassignation sexuelle.
La résolution définitive du conflit qu'apporte un corps défaillant est chirurgical pour beaucoup.
Là plus que pour la psychiatrie et l’endocrinologie il faut veiller à s'assurer l'intervention des meilleurs en la matière, car malheureusement la spécialité devenant 'rentable' beaucoup de charlatans font apparition.
Pour apporter au regard sur la réversibilité du THS bloquant je peux juste dire que ma (réputée) endocrinologue m'a fait un courrier pour mon dossier de changement de sexe devant le tribunal et qui à été déterminant : « … le traitement est entré dans une phase irréversible... » (à moduler par le fait qu'elle à pousser le trait car dans l'ancienne loi l'irréversibilité était le point de décision des juges)
Le traitement bloquant empêche la production de spermatozoïdes donc bien que n'étant pas opéré il sera impossible même en figeant cette étape dans le temps de procréer, la sauvegarde de spermatozoïdes est à mon sens une obligation morale des parents vis-à-vis de leurs enfant car son avis même motivé ne repose pas sur tous les éléments ( continuation de tous les autres aspects de la vie ) et la transmission des gènes n'est pas encore présente déjà qu'adulte nous n'en sommes pas forcément conscients.
Pour beaucoup de choses les parents doivent tenir compte des intérêts de l'enfant sans hypothéquer son avenir.
Promoteurs
Pour les promoteurs des traitements de réassignation sexuelle, ce n'est pas aux médecins de décider ce qui va être nocif ou non. C'est à l'enfant de décider en fonction de ses propres pensées et sentiments subjectifs. Pour l'American College of Pediatricians, les enfants et les adolescents n'ont pas la maturité cognitive nécessaire.
Opposants
Une communauté croissante d'opposants incluant des médecins, des professionnels de la santé mentale et des universitaires affirment être préoccupés par la tendance actuelle qui consiste à diagnostiquer et à affirmer rapidement que des jeunes soient transgenres ce qui les met souvent sur la voie d'une transition de sexe médicale. Ces critiques estiment que des actes de chirurgies inutiles et les traitements hormonaux n'ont pas prouvé leur innocuité à long terme et représentent des risques importants pour les jeunes concernés. Il n'est pas possible à l'heure actuelle selon eux d'évaluer les risques et les avantages de ces traitements de réassignation sexuelle.
Je suis étonnée qu'il puisse y avoir des promoteurs et des opposants comme une joute politique alors que c'est une chose grave et primordiale
Je doute que ceux ayant écrit ce sujet soit atteint de dysphorie
Par ailleurs il faut voir les choses en terme d'échelle d’âge et de réalité vécue à cet age donné. C'est pour çà qu'il ne faut engager l'enfant que dans des choses soit réversibles soit qu'il est en conscience réelle de les décider je prends exemple de ma meilleure amie majeure et MtF comme moi mais qui n'est pas opérée par choix. Le fait d'avoir des enfants avant transition pèse beaucoup sur le choix de la réassignation sexuelle car il faut savoir qu'après opération cela est impossible 'naturellement ' puisque nous n'avons pas d'utérus, et même avant avec le THS car l'équilibre testostérone/œstrogène s'inverse.
Les personnes trans présenteraient après un changement de sexe des risques considérablement plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que le reste de la population. Le changement de sexe, bien qu'il atténue la dysphorie de genre, peut ne pas suffire comme traitement pour la transidentité et devrait être accompagné de soins psychiatriques et somatiques.
Je me demande qui a écrit cet article car si effectivement on peut retenir à long terme que le THS peut éventuellement entraîner des risques sur la santé, bien qu'étant diabétique avec problèmes cardiaques avant je n'ai pas constaté sur cette décennie d'aggravement de mon cas.
Les autres argument semblent eux être de la manipulation ou de la déviance intellectuelle pour prier pour sa chapelle d'esprit !
Effectivement nous avons un taux de suicide de 70 % supérieur à la population mais c'est justement avant prise en charge médicale lorsque nous sommes enfermée en nous même sans véritable explication , ni raisons d’espérer. Et j'ai faite cette malheureuse expérience « appel au secours » qui n'a pas été définitive.
La psychiatrie concernant le transexualisme est la ' porte d'entrée ' et un psychiatre sérieux vérifie justement les comorbidités et en la matière soit elles existent ou pas mais ce n'est pas le changement de sexe ( bien que le terme utilisé soit inapproprié) qui en est générateur.
le suicide ne l'est souvent que si la transition est incorrecte. (méconnaissance pour l'enfant de son état (du point de vue médical aussi) perspective de sortir de "l’enfermement" objectif ou pas de vie correcte, insertion dans une vie sociale satisfaisante)
Approches alternatives de la diversité des genres chez les enfants
L'existence de personnes bispirituelles a été documentée dans plus de 130 pré-colonies et nations autochtones d'Amérique du Nord, y compris chez les lhamana de Zunis et les winkte de Lakota.
Pourquoi faire simple lorsque l'on peut compliquer les choses.
Les personnes trans présenteraient après un changement de sexe des risques considérablement plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que le reste de la population. Le changement de sexe, bien qu'il atténue la dysphorie de genre, peut ne pas suffire comme traitement pour la transidentité et devrait être accompagné de soins psychiatriques et somatiques.
Je me demande qui a écrit cet article car si effectivement on peut retenir à long terme que le THS peut éventuellement entraîner des risques sur la santé, bien qu'étant diabétique avec problèmes cardiaques avant je n'ai pas constaté sur cette décennie d'aggravement de mon cas.
Les autres argument semblent eux être de la manipulation ou de la déviance intellectuelle pour prier pour sa chapelle d'esprit !
Effectivement nous avons un taux de suicide de 70 % supérieur à la population mais c'est justement avant prise en charge médicale lorsque nous sommes enfermée en nous même sans véritable explication , ni raisons d’espérer. Et j'ai faite cette malheureuse expérience « appel au secours » qui n'a pas été définitive.
La psychiatrie concernant le transexualisme est la ' porte d'entrée ' et un psychiatre sérieux vérifie justement les comorbidités et en la matière soit elles existent ou pas mais ce n'est pas le changement de sexe ( bien que le terme utilisé soit inapproprié) qui en est générateur.
le suicide ne l'est souvent que si la transition est incorrecte. (méconnaissance pour l'enfant de son état (du point de vue médical aussi) perspective de sortir de "l’enfermement" objectif ou pas de vie correcte, insertion dans une vie sociale satisfaisante)
Approches alternatives de la diversité des genres chez les enfants
L'existence de personnes bispirituelles a été documentée dans plus de 130 pré-colonies et nations autochtones d'Amérique du Nord, y compris chez les lhamana de Zunis et les winkte de Lakota.
Pourquoi faire simple lorsque l'on peut compliquer les choses.
le bispirituel demanderai développement au moins une meilleure qualification
Le transexualisme n'est pas de la spiritualité, une vue de l'esprit, ni même un désir c'est un état de fait comme être gauchère ou être myope ! il n'y a aucune philosophie de parti pris à avoir !!!
Orientation sexuelle
Hepp, Milos, et Braun-Scharm établissent dans leur étude sur les troubles de l'identité genre et l'anorexie mentale chez les jumeaux monozygotes masculins que la corrélation entre les troubles de l'identité genre de l'enfance et l'homosexualité adulte est plus forte que la corrélation entre les troubles de l'identité de genre de l'enfance et la transidentité adulte. Cohen-Kettenis et Gooren notent dans leur revue littéraire sur la transidentité que les enfants ayant un trouble de l'identité de genre sont plus susceptibles d'être gay ou lesbiens plus tard que transgenre. En outre, les adultes gays et lesbiens (homosexuels appelons un chat un chat) déclarent avoir manifestés plus de comportement de rôle du genre opposé que les adultes hétérosexuels
C'est de plus en plus un ramassis d'inepties : trouble de l'identité et anorexie mentale chez les jumeaux masculins… mouais mais cela n'en fait pas une règle pour tous les autres qui n'ont pas de jumeau.
D'autre part ils établissent dans leur étude que les troubles de l'identité de genre de l'enfance et l'homosexualité adulte ( quand ils sont adultes je suppose) est plus forte que la corrélation troubles d'identité de l'enfance et transexualité adulte.
Comparer enfants et adultes est hérétique car le « moi » est ce qui permet de se définir n'est pas identiquement complet à 7 ou 55 ans mais extrapoler qu'un enfant transgenre sera homosexuel est plus probable que d’être transgenre en étant adulte c'est de la folie furieuse !!!!
Mon institutrice aurait dit : on ne multiplie pas les kilos de pommes de terre avec des kilos de cochon !
Donc dire un enfant sera possiblement homosexuel oui je le disais plus haut, mais l'autre partie de la comparaison est complément dénuée de vérité car que nous l'appelions dysphorie, trouble du genre ou transgenre ce ne sont que des qualificatifs différents pour dire la même chose et même si l'on voulait donner un sens différent ce n'est pas évolutif c'est un état d'être inné.
Donc dire un enfant sera possiblement homosexuel oui je le disais plus haut, mais l'autre partie de la comparaison est complément dénuée de vérité car que nous l'appelions dysphorie, trouble du genre ou transgenre ce ne sont que des qualificatifs différents pour dire la même chose et même si l'on voulait donner un sens différent ce n'est pas évolutif c'est un état d'être inné.
Et encore concernant l'homosexualité est n'est pas "obligatoire" car sur 5 de mes amies trans 2 vivent une relation femme/homme (hétéro) , 1 est bisexuelle et les 2 autres sont lesbiennes donc aucune grande vérité mais mes connaissances ne sont pas forcément un panel représentatif
j'espère que je vous ai aidés à décrypter et lire entre les lignes de propos ce voulant scientifiques mais quasiment transphobes du genre insulte déguisée
mille bises