Post by Mohini on Nov 2, 2018 15:46:16 GMT 1
Bonjour à toutes,
Bien que n'étant pas opérée (et ne pouvant pas l'être définitivement), pour ma part, un suivi gynécologique est bien entendu impératif pour plusieurs raisons :
- dépistage des IST
- détection des saignements éventuels, soucis de cicatrisation etc...
- détection d'éventuelles tumeurs néo-vaginales : certaines peuvent penser que l'on ne peut pas développer des tumeurs au niveau du néo-vagin... eh bien c'est totalement faux :
* dans le cas d'une vaginoplastie cutanée (cas de loin le plus courant) : infection à HPV (papillomavirus) pouvant induire des tumeurs bénignes de type verrues pouvant dégénérer en tumeurs malignes
* dans le cas d'une vaginoplastie sigmoïdienne (cas plus rare mais que le monde médical et le monde trans oublient souvent) : infection à HPV pouvant induire des tumeurs bénignes de type condylomes au niveau de la muqueuse colique néo-vaginale (au même titre que le développement de condylomes au niveau de la muqueuse anale chez les sujets masculins homosexuels)
Là encore, au risque de paraître désagréable, Cristofari peut dire ce qu'elle veut mais elle est une chirurgienne plasticienne, ce qui montre bien son manque de connaissances sur la physiologie néo-vaginale...!
Mohini
Bien que n'étant pas opérée (et ne pouvant pas l'être définitivement), pour ma part, un suivi gynécologique est bien entendu impératif pour plusieurs raisons :
- dépistage des IST
- détection des saignements éventuels, soucis de cicatrisation etc...
- détection d'éventuelles tumeurs néo-vaginales : certaines peuvent penser que l'on ne peut pas développer des tumeurs au niveau du néo-vagin... eh bien c'est totalement faux :
* dans le cas d'une vaginoplastie cutanée (cas de loin le plus courant) : infection à HPV (papillomavirus) pouvant induire des tumeurs bénignes de type verrues pouvant dégénérer en tumeurs malignes
* dans le cas d'une vaginoplastie sigmoïdienne (cas plus rare mais que le monde médical et le monde trans oublient souvent) : infection à HPV pouvant induire des tumeurs bénignes de type condylomes au niveau de la muqueuse colique néo-vaginale (au même titre que le développement de condylomes au niveau de la muqueuse anale chez les sujets masculins homosexuels)
Là encore, au risque de paraître désagréable, Cristofari peut dire ce qu'elle veut mais elle est une chirurgienne plasticienne, ce qui montre bien son manque de connaissances sur la physiologie néo-vaginale...!
Mohini